Orthographe grammaticale

Un vieil âne têtu refusait d’avancer. Il était fatigué. Ses sabots lui faisaient mal. Il devait porter une lourde charge alors non : cette fois-ci, il n’avancerait pas. On le menaça, on lui donna des coups de bâton. En vain. Tout juste se mit-il à braire un peu plus fort. Alors on lui parla autrement. L’âne, étonné et reconnaissant, amadoué par cet accès de gentillesse, accepta finalement d’avancer contre une douteuse promesse de carottes.

âne ► ânes

mule ► mules

âne ► mules

mule ► ânes